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Archive quotidienne14 septembre 2018

Quelques conseils en cas de mal de dos

Woman massaging pain backOn parle du mal du dos comme « le mal du siècle », il n’est pourtant pas une fatalité, voici quelques conseils pour le soulager et surtout … l’éviter!

Le lumbago

Le meilleur remède reste le repos, éventuellement complété par des antalgiques, des anti-inflammatoires non stéroïdiens si la douleur est importante, et des séances de kinésithérapie. Le magnétisme et le reiki s’avèrent également efficaces en complément dans de nombreux cas.

Évitez de rester au lit pendant une longue période pour éviter une perte de tonicité et de soutien des muscles lombaires.

Privilégiez la marche quotidienne d’une quinzaine de minutes lorsque la « crise » est passée ou a fortement diminué.

Vous pouvez par la suite opter pour le renforcement de la sangle abdominale et des muscles lombaires (voir en fin d’article), pour des mouvements de respiration, pour une correction statique et parfois podologique, et/ou pour une perte de poids en cas de surpoids.

Veillez enfin au maintien constant d’une bonne posture.

La sciatique

Outre le repos, comme pour le lumbago, vous pouvez prendre des antalgiques et des anti-inflammatoires non stéroïdiens si la douleur est importante.

Le « glaçage » est efficace les deux premiers jours.

Une fois l’inflammation calmée, la chaleur sera bénéfique (bain, serviette chaude, coussin chauffant).

La kinésithérapie (massages spécifiques), l’ostéopathie, l’électrothérapie (ultrasons, laser, stimulation électrique transcutanée), la physiothérapie et l’homéopathie sont les bienvenus. Magnétisme et reiki peuvent également compléter ces soins.

Ces 5 mouvements, à réaliser avec douceur (sans forcer), seront également très efficaces pour vous soulager :

La hernie discale

Le repos est naturellement de rigueur, comme l’arrêt des comportements à risque pour le dos, complétés par la prise d’antalgiques et d’anti-inflammatoires non stéroïdiens pour soulager la douleur et réduire l’inflammation.

Dans la majorité des cas, ces mesures sont suffisantes pour réduire les symptômes et guérir la hernie discale. Mesures pouvant également être complétées par du magnétisme et du reiki.

Des infiltrations peuvent être prescrites en cas de douleurs persistantes ; la chirurgie est parfois (mais rarement) nécessaire.

En phase de douleur aiguë, le repos au lit peut être envisagé pour un ou deux jours maximum. Pour les mêmes raisons que le lumbago, il est préférable de ne pas rester au lit trop longtemps et de reprendre ses activités dès que possible.

Pour vous soulager, utilisez les positions couché sur le côté, genoux repliés, un oreiller sous la tête et un autre entre les genoux (les femmes enceintes peuvent ajouter un oreiller sous leur ventre), ou couché sur le dos, sans oreiller sous la tête (ou très fin si nécessaire), avec un ou plusieurs oreillers sous les genoux et si nécessaire une serviette pliée adéquatement placée dans le creux du bas du dos.

Le « glaçage » contribue également à atténuer la douleur.

Une fois les symptômes atténués, des séances de réadaptation, composées essentiellement de mouvements permettant d’améliorer la posture, la respiration, de renforcer le dos, les abdominaux, et de développer la souplesse générale permettront d’accélérer la guérison complète (voir en fin d’article).

Prévention au quotidien

Deux règles sont essentielles pour prévenir et soulager les maux de dos. La première est de conserver une bonne posture en toutes circonstances, dans tous les mouvements et gestes de la vie quotidienne. La deuxième dépend de la capacité à gérer au mieux le stress au quotidien, quelles que soient les techniques utilisées (activité physique, relaxation…) car les maux de dos sont, dans bien des cas, d’ordre psychique (psychosomatique).

En position assise

Rester assis durant de longues heures chaque jour accroît la pression sur le dos (plus que rester debout ou marcher). Dès qu’on se penche un peu trop, la pression augmente encore.

Si vous êtes obligé de rester assis, privilégiez un siège confortable qui vous soutienne correctement le bas du dos.
Devant votre ordinateur, pour éviter les tensions au niveau des épaules et du cou, la hauteur de votre bureau doit vous permettre d’atteindre les touches du clavier en gardant les bras légèrement fléchis en dessous de l’horizontale. L’idéal étant les sièges vous permettant de basculer vers l’avant lorsque vous souhaitez vous pencher, ou vers l’arrière pour vous décontracter.

En voiture

Votre siège ne doit pas se trouver trop éloigné des pédales, vos jambes doivent rester légèrement fléchies, le dossier suffisamment redressé pour vous soutenir le bas du dos, les bras légèrement fléchis sur le volant.

Au lit

Ne lésinez pas sur la qualité du matelas et sa fermeté (trop mou, il occasionne souvent des maux de dos au réveil).

En général, la position à privilégier en cas de douleur est la position fœtale.

Attention à la position sur le ventre qui augmente la cambrure lombaire, comme à celle sur le dos si vos jambes ne sont pas légèrement relevées (par un coussin sous les genoux, par exemple).

Un oreiller ergonomique sera le bienvenu en cas de douleur dans les cervicales.

Pour vous lever, allongez-vous de profil sur le bord du lit, et déplacez simultanément le tronc et les jambes pour vous asseoir.

Éviter les faux mouvements

Pour soulever une charge, le dos doit rester droit ; ce sont les jambes qui accomplissent tout le travail. Pour soulever un carton posé au sol par exemple, vous devez vous placer le plus près possible de l’objet, puis fléchir les jambes afin de vous accroupir, saisir l’objet, et enfin pousser sur les cuisses pour vous redresser.

A la cuisine, le plan de travail doit se trouver suffisamment haut pour vous éviter d’arrondir le dos en cuisinant, idem pour la table à repasser et pour l’évier.

Les accros du jardinage veilleront à conserver râteau ou bêche le plus près possible de leur buste tout en gardant les jambes légèrement fléchies, le dos droit et les abdominaux gainés.

Lorsque vous devez porter des paquets, répartissez si possible le poids entre deux sacs, un dans chaque main.

Quelques activités bénéfiques

Les activités d’eau telles que la natation ou l’aquagym sont particulièrement recommandées en cas de maux de dos.

Le yoga, le taï-chi ou le pilates (méthode basée sur le « contrôle des muscles par l’esprit » qui, par le maintien de postures spécifiques et l’utilisation de machines adaptées, permet de renforcer la musculature profonde tout en privilégiant la souplesse, et améliore la conscience de notre schéma corporel) sont également conseillés.

N’hésitez pas également à pratiquer la technique de l’autosuggestion, en complément de soins éventuels ou en prévention.

Enfin, voici quelques exercices/séances que vous pouvez réaliser régulièrement :

http://blog.wattsplan.fr/soulager-son-dos-en-3-minutes-par-jour/

http://blog.wattsplan.fr/renforcer-son-dos-en-10-minutes-par-jour/

http://blog.wattsplan.fr/renforcer-son-dos-en-20-minutes/

Pour des conseils personnalisés, de nombreux coachs vous attendent sur Wattsplan, contactez-les !

 

Les pouvoirs du subconscient

Electrons revolve around the brain. Concept of idea.Bienvenu à bord de votre esprit ! Le commandant de bord, « la pensée », et son équipage – « le conscient », « le subconscient », « les émotions« , « le caractère », « l’action », « l’inaction », « l’optimisme« , « le pessimisme », « l’imagination« , « la volonté », sont ravis de vous accueillir dans la cabine de pilotage, et n’attendent que vous pour connaître le plan de vol !

Car même si nous en possédons maintenant beaucoup de clés, nous ne parviendrons à la « forme » qu’avec le concours de nos pensées, autrement dit de notre activité mentale, qui dirige et donne les ordres.

Comment conserver et surtout développer notre équilibre psychologique ? Comment faire face aux turbulences quotidiennes, aux échecs, au stress, et ne pas se laisser envahir par le découragement et la déprime ? Comment « plier et ne pas rompre » ? Existe-t-il des recettes, des remèdes qui, tout comme les exercices physiques entretiennent et/ou développent notre corps, auraient cet effet dynamisant sur notre mental, nous permettant de garder un état d’esprit à toute épreuve ? Nos pensées auraient-elles besoin elles aussi d’exercice pour garder la forme ?

Conscient et subconscient

Nous avons évoqué le rôle et l’importance des courants d’énergie psychique générés par les interactions entre la pensée, les émotions, et notre caractère. Nous avons ainsi mis en évidence l’importance de l’esprit sur notre état de « forme ».

Les spécialistes s’accordent sur le fait que l’esprit comprend plusieurs niveaux de conscience dont le conscient et le subconscient.

Le conscient nous permet de réaliser toutes nos tâches quotidiennes, en étant justement « conscient » d’utiliser notre esprit. Il capte les informations extérieures au moyen des cinq sens, nous permet de réfléchir, de raisonner et de prendre des décisions. Il reçoit également des informations « intérieures », provenant du subconscient.

Le subconscient (littéralement « sous la conscience »), terme introduit par Joseph Jastrow en 1906, qui ne recouvre pas la même chose que le concept freudien d’inconscient, pourrait se comparer à une énorme « banque de données ». Tout ce que nous percevons, ressentons, apprenons, comprenons, vivons depuis notre naissance y est stocké, les bonnes expériences comme les mauvaises.

Ainsi, lorsque nous sommes confrontés à une situation ou à un choix, notre conscient est soumis à la suggestion de notre subconscient qui puise dans sa banque de données de situations ou de choix similaires, et nous influence, nous guide, vers un type de comportement donné.

Lorsque vous avez appris à conduire, par exemple, votre conscient était prépondérant (penser à débrayer, passer la vitesse, accélérer, contrôle de sécurité etc.), puis la répétition des tous ces gestes a permis leur stockage dans votre subconscient, qui vous permet dorénavant de conduire sans y penser.

Par ailleurs, le subconscient est également lié aux actions non volontaires de notre organisme telles que la respiration, la digestion, la circulation sanguine, la défense contre les microbes, la cicatrisation, etc. Nous savons aussi qu’il peut avoir une influence sur ces processus « non-conscients » (maux de ventre provoqués par le stress, par exemple, maladies dites psychosomatiques).

Ainsi, non seulement le subconscient contrôle tous les processus vitaux liés à la santé de notre corps, mais il conditionne également largement notre comportement et nos choix.

Et la pensée ?

Mais si tout cela se fait hors de notre conscience, que vient faire la pensée là dedans ? Eh bien, son rôle est capital !

Car le subconscient, tel un disque dur d’ordinateur, ne fait pas la distinction entre les bons « programmes » installés et les mauvais. Il enregistre toutes les informations qu’il reçoit, perçues par notre conscient ou non, et les retranscrit sur notre manière d’être et d’agir.

Nous comprenons ainsi pourquoi nous sommes parfois sujet à des peurs, des angoisses, au mal-être, que nous avons du mal à comprendre et à contrôler, et qui affectent notre manière de vivre et notre santé.

Cependant, le subconscient, mécanique, ne fait aucune différence au niveau des informations qu’il reçoit du conscient, ainsi, qu’elles soient réelles ou imaginaires, il exécutera le programme installé. C’est à ce moment que la pensée entre en jeu !

Chacun de nous a en effet la possibilité de « reprogrammer » son subconscient, en y installant les « programmes » conformes à ses souhaits. Pour cela, la pensée représente le « pilote » qui permet l’installation, à laquelle s’ajoutent deux « assistants pilote » : la volonté et l’imagination.

La volonté permet de « mettre le feu aux poudres » ; elle est l’élément déclencheur de toute action et permet, surtout au début, d’être constant et persévérant dans toute démarche de changement.


« Mon corps est un jardin, ma volonté est son jardinier. » William Shakespeare (1564-1616).

L’imagination au pouvoir !

Parallèlement, il est essentiel, dès le départ, d’avoir recours à l’imagination, car c’est elle qui permet d’imprimer ces nouveaux programmes dans notre subconscient, sous forme d’idées ou, mieux, d’images mentales.

Unlock Your Mind 28L’imagination permet l’émission de données imaginaires vers le subconscient qui les interprétera comme réelles, et les retranscrira sur notre comportement.

Si vous imaginez que vous êtes calme, votre subconscient renverra du calme ; si vous imaginez que vous êtes confiant, votre subconscient renforcera votre confiance ; si vous imaginez que vous êtes en bonne santé, votre subconscient stimulera votre système immunitaire, etc.

Cependant, comme pour conduire votre voiture, seule la répétition permet l’installation des programmes et leur lecture.

On constate alors que vouloir ne fait pas tout ; l’imagination est la « clé » de tout changement.

« L’imagination est plus importante que le savoir. » Albert Einstein (1871-1955).

Ainsi, lorsque vous voulez absolument vous endormir, vous n’y arrivez généralement pas ! La solution n’est pas de vouloir dormir, mais de s’imaginer en train de dormir.

La pensée engendre l’imagination, qui a le pouvoir de façonner notre subconscient afin qu’il nous guide de façon naturelle, sans réel effort, vers ce que nous souhaitons être, faire et avoir.

Être « en forme »

JumpÊtre en forme peut signifier bien des états selon notre profil et notre état d’esprit.

Pour certains c’est être performant dans un sport en particulier, être capable de courir le 100m en moins de dix secondes ou le marathon en moins de trois heures.

Pour d’autres c’est être capable d’ouvrir un bocal de cornichons du premier coup, ou prendre l’escalier sur 2 étages sans avoir l’impression d’être à 8000m d’altitude.

Pour beaucoup d’entre nous, c’est surtout avoir de l’énergie, une silhouette harmonieuse (ni trop ronde, ni trop maigre), un moral au beau fixe, en d’autres termes être « bien dans son corps et dans sa tête », rempli de vitalité.

Arrêtons-nous un instant sur la définition de la forme selon le Petit Robert :

« Être en forme » = Bonne condition physique et intellectuelle.

Approfondissons cette définition en précisant quels sont les facteurs qui influent sur notre condition physique et intellectuelle :

L’Homme est un tout. Il se définit par un ensemble de paramètres qui déterminent son état physique et mental.

Hormis notre état de santé, dont l’influence sur notre forme est indéniable, nous pourrions les regrouper selon 3 axes principaux :

1. Les paramètres physiques et physiologiques définissent votre « vous » biologique, organique, fonctionnel. Ils regroupent :

2. Les paramètres psychiques définissent votre « vous » psychologique. Ils regroupent :

  • Les états d’âme (pensées, émotions, stress : l’amour, la peur, la joie, la tristesse)
  • La personnalité (l’optimisme, le pessimisme, l’introversion, l’extraversion, l’indépendance, le contrôle de soi, la fermeté-intransigeance, l’anxiété, la gestion du stress, la sociabilité etc.… le caractère : nerveux, sanguin, bilieux, ou lymphatique).

3. Les paramètres extérieurs définissent votre « vous » en interaction avec vos choix de vie et votre environnement. Ils regroupent :

Ces paramètres interagissent entre eux et sont à prendre en compte au cas par cas.
Si l’un d’eux est défaillant, c’est tout notre équilibre physique et psychique qui peut être perturbé.

Cependant vous avez la possibilité de transformer, changer, modifier, développer, ou bien encore d’optimiser certains d’entre eux, selon leur nature, et trouver ainsi le juste équilibre.

« Être en forme », c’est être en harmonie avec tous ces paramètres, et donc avec soi-même.

Bien se connaître est la clé de tout changement.

Identifier vos propres paramètres vous permettra d’analyser ce qui vous convient ou non, et d’agir en conséquence en établissant votre « plan de route » personnel qui vous mènera tout droit vers « la forme ».